Projet ULIS-Histoire : « De la préhistoire à l’époque contemporaine »

L’exposition de cette fin d’année a rassemblé l’ensemble des œuvres réalisées par les élèves de la classe d’Ulis de M Franzini, en collaboration avec Mme Lambert Pernotte, professeur d’histoire-géographie. Les élèves avaient travaillé sur les cinq grandes périodes de l’histoire. Pour la préhistoire, ils ont réalisé une fresque collaborative de peintures rupestres. Pour l’antiquité, ils ont réalisé, chacun, une mosaïque représentant la façade du Parthénon. Pour le Moyen-âge, ils ont fait des enluminures et des lettrines de leur prénom. Pour les temps modernes, ils ont réalisé des représentations de jardins à la française comme au château de Versailles. Et pour l’époque contemporaine, ils ont effectué une ouvre collaborative de pop-Art.

Bravo pour l’investissement, le soin apporté à toutes les réalisations et la qualité des explications données lors de la visite des autres classes.

Expo-ULIS-Histoire

Première sortie au MIP.

Cette première sortie fut l’occasion d’une première prise de contact pour les élèves de cinquième 3. 

Ils ont travaillé sur le thème « parfumerie et Moyen-Age ». Après un rappel historique sur les activités de tannerie, et de parfumerie au Moyen-Age, ils ont pu appréhender les techniques de macération et distillation à la base de la parfumerie. 

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Intervention sur la Marseillaise et la République

Ce mardi 25 avril 2017, tous les élèves de 4ème, dans le cadre de leur Parcours Citoyen et des cours d’Enseignement moral et civique, ont pu bénéficier d’une intervention d’une heure par classe et organisée par le Comité de la Légion d’Honneur, que nous remercions chaleureusement pour leur engagement auprès de nos élèves.

Intervention de l’Observatoire de la Laïcité des Alpes-Maritimes (OLAM) à destination des élèves de 4ème et des délégués

Ces mardi 8 et jeudi 10 novembre 2016, le collège Saint Hilaire reçoit des bénévoles de l’OLAM, Observatoire de la Laïcité des Alpes-Maritimes. Ils rencontreront tous les élèves de 4ème, ainsi que les délégués des classes de 6ème, 5ème et 3ème, lors des cours d’Enseignement Moral et Civique (EMC).

Cette association, agréée par l’Education nationale, a pour vocation de promouvoir les valeurs de la République et tout particulièrement la laïcité qui assure la qualité des relations entre tous les citoyens, autrement dit, le « vivre-ensemble ».

L’OLAM intervient dans les collèges de Grasse, dans le cadre du Parcours Citoyen et de Santé grassois qui traduit la volonté des établissements publics de travailler en réseau sur ces questions.

Merci à ces bénévoles pour leur engagement.

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Des élèves de troisième primés pour le concours Charles Gottlieb

Voici le récit de la remise des prix.

Suite au voyage à Auschwitz (en janvier) et surtout en mémoire des millions de morts, nous avons  réalisé une vidéo qui s’intitule Voyage de la mémoire (disponible sur le site) et nous avons concourus au concours Charles Gottlieb sur les restitutions de voyage. Vendredi 17 juin, nous sommes allés à la remise des prix dans l’hémicycle du conseil départemental à Nice.

Dans notre vidéo, nous avons cité le poème de Primo Levi Si c’est un homme que nous avons complété par notre propre récit. Nous lisons ces textes en diffusant les photos et vidéos de notre journée en Pologne, le tout sur une musique de fond.

Notre groupe a eu un prix spécial du jury pour la qualité littéraire du travail ; nous avons été félicités pour notre texte « poignant ». Chaque élève a reçu deux entrées pour le parc Alpha (parc des loups).

Après la remise du prix, nous avons été invités à un cocktail accompagné de délicieux petits gâteaux.

D’après Jennifer, Fiorella et Thaliny.

 

Voici l’article sur le site du conseil départemental :

https://www.departement06.fr/actualites-24/le-prix-charles-gottlieb-pour-ne-jamais-oublier-7887.html?cHash=efdeec689ffc3781b2d389599382ebc4

 

Quelques photos de la remise des prix :

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Découvrir l’école dans le monde à travers les témoignages d’élèves en UPE2A

En géographie en 5e, les élèves apprennent les inégalités face à l’alphabétisation dans le monde : on compare alors l’école dans un pays développé et celle d’un pays en développement.

Des élèves d’UPE2A (élèves nouvellement arrivés en France) ont présenté l’école de leur pays aux élèves de 5e.

 

Témoignage de Malalaï et Noor Bibi

Malalaï (4e) et Noor Bibi (6e) sont Afghanes, elles sont sœurs. Elles sont venues témoigner auprès des élèves de 5e3 et 5e5.

En Afghanistan, très peu de filles vont à l’école car c’est jugé trop risqué pour elles en raison de la présence des Talibans qui pensent que la place des filles est à la maison. Elles passaient donc leur journée à faire des tâches ménagères (cuisine, ménage, lavage du linge à la main).

Pour ceux qui ont la chance d’aller à l’école, les conditions sont difficiles : les élèves s’assoient par terre, il n’y a pas de cantine, les élèves sont très nombreux dans les classes. Si le travail n’est pas fait correctement, les élèves se font frapper à coups de bâton sur les doigts.

 

Témoignage de Jenilson

Jenilson est capverdien : il a présenté son pays à sa classe (5e4). Voici ce qu’a retenu Lucas de son témoignage :

Au Cap Vert, les enfants vont tous à l’école primaire car l’école est gratuite ; moins d’enfants peuvent aller en secondaire car c’est payant.

Jenilson avait cours tous les après-midi à part le dimanche. Il allait à l’école à pied : il mettait 1h30.

Au Cap Vert, les conditions pour étudier sont difficiles ; elles ne sont pas adaptées au nombre d’élèves : il n’y a pas assez de matériel pour toute la classe, les élèves doivent être plusieurs sur le même livre par exemple.

Jeu de rôles : les 4e6 découvrent le fonctionnement d’une cour d’assises

Afin de comprendre le fonctionnement de la justice, les élèves ont jugé fictivement une affaire de triple infanticide. Chacun s’est glissé dans la peau d’un des différents acteurs d’une cour d’assises : le juge et ses assesseurs, les jurés, le greffier, l’avocat général, l’accusée et son avocate, les témoins, l’expert et les journalistes.

Voici les articles écrits par les deux journalistes présents lors de cette audience fictive.

Un triple infanticide bien mal expliqué

A l’entrée du juge, l’ensemble de la cour se lève pour se rassoir aussitôt. Véronique, née en 1968, mariée à Jean-Louis, né en 1966, est présumée coupable du meurtre de trois nouveau-nés, deux étranglés puis congelés, l’autre brûlé. Le juge commence par prendre connaissance de l’identité de la prévenue.

L’avocat général interroge ensuite la prévenue assistée de son avocate : « Pourquoi avoir congelé deux nouveau-nés et brûlé un troisième ? ». « Je ne mesure pas ma force », déclare la prévenue. J’ai étranglé les deux premiers en voulant leur mettre un tee-shirt. J’ai ensuite voulu les congeler pour conserver les corps ». Pour le troisième, la prévenue a bien du mal à s’expliquer. Elle finit par dire que l’enfant est tombé seul dans la cheminée allumée. […]

Le mari de la prévenue est appelé à la barre. Apparemment, il battait sa compagne. Il explique qu’elle se droguait et qu’il en avait assez.

C’est au tour d’un expert-médical d’être interrogé.

Les jurés se retirent pour donner leur jugement. A leur retour, le juge annonce que Véronique est coupable et qu’elle est condamnée à la prison à perpétuité assortie d’une peine de sûreté de 30 ans.

D’après Q. G., 4e6

 

L’affaire Véronique Ducarton

  Véronique est accusée d’avoir étranglé puis déposé dans le congélateur deux nouveau-nés. Un troisième a été brûlé.

  La séance commence. Le procureur commence à poser des questions à Véronique : « Pourquoi avez-vous tué vos enfants ? ». Pour se défendre, elle répond que c’était accidentel, elle ne voulait pas les tuer, elle était droguée par son mari. Puis, elle avoue le crime en disant : « Les deux premiers, je les habillais mais je ne contrôle pas ma force donc je les ai tué. Pour le troisième, je faisais le ménage et en nettoyant la vitre de protection de la cheminée, il est trombé. »

Le premier témoin est interrogé : Jean-Louis, le père des victimes. Il dit que pendant les grossesses, il n’était jamais là, il passait la plupart de son temps au travail. […]

Le deuxième témoin est interrogé : la mère de Jean-Louis. Elle aimait bien Véronique mais aujourd’hui, elle trouve que c’est une mère indigne alors qu’avec ses deux premiers enfants, elle était juste fatiguée. […]

L’expert médical dit que Véronique n’était pas droguée ni battue. Elle explique également le déni de grossesse.

Après le plaidoyer de l’avocate de la Défense, le procureur général réclame la prison à vie et déclare qu’elle est dangereuse pour la société.

Lors de la délibération, le juge la déclare coupable ; elle est condamnée à la prison à vie avec une période de sûreté de 30 ans et un suivi psychologique.

L’audience se termine.

D’après A. B. 4e6

 

Le triple infanticide de Véronique Courjault : la vraie affaire

Véronique Courjault (née en 1968 dans le Maine-et-Loire) a connu une enfance marquée par l’absence de communication. En 1984, elle s’est mariée à Jean Louis Courjault (né en 1966 en France) avec qui elle a eu ses deux premiers garçons Jules et Nicolas.

La famille habite en Corée du Sud quand le 29 juillet 2006, alors que sa femme et ses garçons sont en vacances en France, Jean-Louis Courjault trouve deux nouveau-nés dans son congélateur. Il prévient donc la police. Alors que Jean-Louis Courjault rejoint sa femme et ses garçons en France, il reçoit un appel disant les résultats ADN affirment que les deux bébés sont du couple (les bébés Courjault).

Le 12 octobre 2006, Véronique Courjault avoue avoir tué puis congelé les deux nouveaux-nés en 2002 et 2003 et avoue aussi en avoir tué un en 1999 alors que le couple habitait en France en Charente Maritime.

En janvier 2009, alors qu’il était mis en examen pour complicité d’assassinat, Jean-Louis Courjault qui avait toujours affirmé n’avoir jamais remarqué les grossesses de sa femme, est mis hors de cause.

Le 18 juin 2009, Véronique Courjault est appelée devant la cour d’assises. Elle a été condamnée à huit ans de prison et à un suivi psychologique pour les trois infanticides. Le verdict ne retient pas la préméditation pour le premier infanticide de Véronique Courjault.

Une grande partie des débats ont traité du trouble du déni de grossesse.

D’après J.D. 4e6

Revue de Presse : Voyage de la mémoire 21 janvier 2016

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